Les noms ont bien évidemment été inventés et toute ressemblance avec une quelconque réalité ne serait que pure coïncidence...
Lettre ouverte d’Ali Bongo à Jean Sarkozy
Mon très cher Jean, Un pneumatique de l’Ambassade de France m’apprend la vilaine polémique dont vous êtes victime. Les bras m’en tombent ! Comme dit le proverbe gabonais, la valeur n’attend pas le nombre des années. Je veux vous assurer de mon total soutien dans cette épreuve (En parlant de Total, ma carte GR ne fonctionne plus et je n’ai plus une goutte dans ma Mercedes. Comme Total a son siège à la Défense, si vous pouviez intervenir, je vous en serai gré…).
C’est vrai : se faire un pénom est difficile ! Mon père Omar, démocratiquement réelu durant 41 ans, en toute indépendance, en parlait souvent à monsieur Foccart, puis à monsieur Papamadit: Que va-t-on faire de mon petit Ali après ma mort ?
Les journalistes, vendus pour la plupart à l’opposition, ne comprennent pas le besoin de stabilité que réclame le peuple. Surtout lorsqu’il a la chance d’être guidé par un chef suprême, lumineux. Et la démocratie ne fait rien à l’affaire. Regardez en Corée du Nord, la dynastie des Kim Jong est édifiante ! Et même lorsqu’on laisse au peuple le choix d’élire son petit père, bong sang ne sait pas mentir. Les Etats-Unis ont élu Georges W Bush avant de nous filer le rejeton Dabeliou, histoire de mettre un peu d’ordre dans le jeu de boules à Bagdad.
Non, tenez bon mon cher Jean. Vous êtes légitime. Vous êtes porté par le peuple, dans un canton difficile pour la droite, à Neuilly-sur-Seine, où rodent la nuit de dangereuses factions villepino-chiraco-zapatistes ! Vous saluerez votre père, qui a su remplacer le grand Jacques dans notre cœur (il n’a pas de fils celui là ?). Et n’oubliez pas, je n’ai plus de crédit sur ma carte Total…
Lettre volée et peut-être même inventée par Me Folace, notaire
en Loire-Inférieure
1 commentaire:
Me Folace, vous vous foutez vraiment du monde. Comment oser comparer Sarkozy à Bongo ?
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