mercredi 28 octobre 2009

Epistolaire de rien

Lettre de Jean-Marie d'Orcesson de Sévigné au monde des variétés   Je n'ai pas d'inclinaison particulière pour la mélancolie musicale. Dans ces derniers jours d'un été indien où le soleil brûle ses derniers rayons de jeunesse avant d'incliner son corps bronzé vers un automne où les sangs se glacent, où l'on part promener alors que blanchit la campagne, mes pensées sont ailleurs. Ah, comme j'aimerais vous parler de livres tombés du chevet plutôt que de vous alerter du déclin de la chanson française. Vous parler de visages de jeunes femmes, de bains alanguis dans une douane de mer, près du rivage d'une ile grecque, à moins que ce ne soit de la riviera italienne ou d'une nuit de Bali à fêter la vie sur les cendres des défunts rajahs. (La suite à lire dans l'ouvrage à paraitre "Espistolaire de rien" )  

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