vendredi 29 février 2008

Desproges, el mejor !


Pierre Desproges - Réquisitoire Le Pen
envoyé par jmmoa

Dernière minute

Après le permis de pêche, un permis de vote !


Nous sommes en mesure de vous révéler en exclusivité un projet gouvernemental susceptible de faire grand bruit. Inquiet de sa cote de popularité, le président de la République a mis à l'étude un permis de vote. Les Français, détenteurs d'une carte d'électeur, devraient désormais passer un examen écrit avant chaque scrutin, afin, je cite, " de mesurer leurs facultés à déposer dans l'urne des bulletins ne remettant pas en cause l'ordre établi et la grandeur de la France".

Soucieux de préserver la paix civile et une urbanité courtoise, notre comité éditorial se veut mesuré dans ses réactions. Il fait toutefois remarquer à la Présidence de la République qu'un tel permis aurait sans doute interdit l'accès au trône de l'actuel locataire de l'Elysée. Par ailleurs, le comité éditorial se préoccupe de la possible contagion législative d'une telle mesure. Si le gouvernement venait à élargir ce permis à la pratique de la voile et de la course au large, il doit savoir qu'il ferait se lever un vent de fronde avec menace de tempête populaire. Il y a quand même des limites à ne pas dépasser !

Affaire à suivre donc.

Che n'ai pas chanché !!!

lundi 25 février 2008

Le génie nantais doit s’exporter
Aidons les Vénitiens à combler leurs canaux !

En gage d'amitié, il plaira à Nantes d'offrir le Maillé-Brezé à Venise.


Un récent voyage d’étude à Venise m’a convaincu de l’urgence de la mission à accomplir : Nantes doit exporter son génie, son savoir-faire pour permettre à la « Sérénissime » de sortir du moyen-âge où elle se trouve plongée depuis trop longtemps. Aidons les Vénitiens à combler leurs canaux, comme nos aînés ont su le faire en débarrassant notre ville de toute cette eau envahissante et malodorante.

Autrefois surnommée Venise de l’Ouest, les élus nantais ont su prendre la sage décision de tout remblayer, de casser les multiples ponts au romantisme petit bourgeois, au profit du bitume et de grandes artères dédiées aux autos, aux bus et aux tramways. Le Cours des 50 otages a quand même une autre gueule que le Rialto ou le Pont des Soupirs !

L’Etat et la compagnie d’Orléans (chemins de fer) ont montré la voie à suivre en réclamant le comblement des bras de la Loire. Quand on pense que le fleuve sauvage léchait les pieds des murs d’enceinte du Château des Ducs de Bretagne. Quelle horreur ! Il paressait ensuite autour des immeubles de l’ile Feydeau, célébrant ainsi le passé négrier de la ville.

A l’époque, on a fait appel à l’esthétisme tout en retenue du docteur ingénieur allemand Karl Hotz pour superviser les travaux de comblement et de détournement de l’Erdre. Le père du célèbre Gérard Hotz a commencé à donner à Nantes, par petites touches subtiles, cette culture de l’urbanisme minéral gris que l’on aime tant. Abattu par des résistants français devant le Castel (célèbre boîte de nuit de Loire-Inférieure), Karl Hotz nous a légués son œuvre… et son fils Gérard, recasé depuis à l’ORTF.

Tout n’a pourtant pas été aussi simple pour débarrasser Nantes du péril bleu. En 1934, le conseil municipal traînait des pieds pour finir de combler l’Erdre en centre-ville, au prétexte que cela favorisait la navigation et le tourisme. Balivernes ! Il n’y a jamais âme qui vive à Venise alors que les touristes du monde entier se pressent pour flâner Cours des 50 otages. La preuve, nous sommes obligés de construire un nouvel aéroport international à Notre-Dame-des-Landes !

Fort heureusement, Auguste Pageot fut élu en 1935 et sut prendre les décisions qui s’imposaient. Ancêtre du célèbre courant molletiste socialiste nantais, ce syndicaliste postier, député de la SFIO, a boutté l’eau hors du centre et érigé ce magnifique ruban de bitume, baptisé par anticipation Cours des 50 Otages en hommage à la mémoire du père de Gérard Hotz. Doué d’une vision anticipatrice, il vota même les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain en 1940, prouvant une nouvelle fois sa détestation de la mer et de l’eau, synonymes d’inquiétantes notions d’évasion et de liberté, au profit de la terre ferme, qui, elle, comme l’a justement souligné le héros de la Grande guerre, ne « ment jamais ».

C’est ainsi que nous avons hérité de notre ville aux atours chatoyants et évité le cauchemar d’une banale et ringarde Venise de l’Ouest. La cité transalpine nous nargue avec ses concerts Vivaldi et Corelli à la Fenice. Qu’à cela ne tienne, la cité des Ducs aura ses folles journées Volfoni ! Et pour montrer notre grandeur d’âme, nous, Nantais, sommes prêts à donner en gage d’amitié ce bel escorteur amianté qu’est le Maillé-Brézé à Venise. Amarré devant la Place Saint-Marc, il donnerait tout de suite un autre cachet à la cité des Doges.

Antoine Delafoye-Grandurbain



Le cauchemar de la Venise de l'Ouest oublié, le cours des 50-Otages
brille désormais par sa lumière et sa convivialité.



NDLR : Avec près de 1000 connexions en une journée (26 février 2008), le lumineux projet d’aider les Vénitiens à combler leurs canaux, comme nos aînés ont su le faire avec les bras de Loire et l’Erdre, reçoit un incontestable soutien populaire. Fort de cela, le comité éditorial du site C’est curieux chez les marins ce beoin de faire des phrases exige la tenue d’un referendum d’initiative populaire. Le prochain maire de Nantes devra faire approuver l’envoi à Venise de spécialistes du remblaiement et de la destruction de jolis petits ponts enjambant des cours d’eau. En cas de vote négatif, il devra s’engager à recreuser le Cours des 50 otages pour y faire couler l’Erdre.

Un plouc au Salon de l'Agriculture

Chirac au Salon, c'était aut'chose

mardi 19 février 2008

Géopolitique




Castro, l'hommage d'Aurélien Plumeau


Fidel castro : Hasta la victoria, siempreLa nouvelle a tout juste eu le temps de s’inscrire sur les écrans des agences de presse que les chiens d’impérialistes yankee crient victoire. Fidel Castro renonce au pouvoir, et tout de suite, les mafieux de la calle ocho de Miami font la fête, suivis dans cette basse besogne par les néo libéraux et socio traitres de toute la planète. Les sots, les ingrats. Le gouvernement espagnol dit même attendre des « réformes » de Raul Castro à Cuba. Quelle arrogance ! Quelle ingérence ! Pour un pays qui a découvert cette ile, massacré ses populations, instauré l’esclavage sous l’œil bienveillant de la sainte mère l’Eglise. Après les Espagnols, ce sont les yankee et leur homme de paille, Fulgencio Batista, qui ont mis l’ile en coupe réglée, au seul profit de la mafia américaine.Et puis, enfin, la lumière est venue de la Sierra Maestra où, avec ses compagnons barbudos, dont le « che », Fidel Castro a mis en marche une des plus belles révolutions de notre histoire. Armés de la seule foi de l’humanisme et du socialisme, et de fusils aussi, faut pas déconner, Ils ont renversé des montagnes pour obliger l’ignoble Batista à l’exil. Depuis, Cuba vit sous le soleil du socialisme juste et bienveillant. Evidemment, les médias occidentaux à la solde de la CIA inondent le monde d’informations mensongères. Ils tentent de faire croire que Cuba est devenue une prison au soleil pour les opposants, qu’il y règne pauvreté, misère et prostitution. Et pourquoi pas de la corruption au sein du lumineux PCC (parti communiste cubain) pendant qu’on y est !! Ce ne sont évidemment que mensonges et basses manœuvres pour tenter de destabiliser ce paradis des caraibes. Mais cette invasion médiatique connaîtra la même issue que celle de la Baie des cochons. Elle finira, vaincue, noyée dans la boue d’où elle n’aurait jamais dû sortir ! Viva la revolucion ! Viva el socialismo ! Hasta la victoria siempre, commandante !


Aurélien Plumeau


(19 fevrier 2008/Fidel castro renonce au pouvoir à Cuba)
Une vieille fripouille dictatoriale

J’en ris encore. L’hommage d’Aurélien Plumeau à cette vieille fripouille dictatoriale de Castro était tellement prévisible qu’il a l’efficacité politique et intellectuelle d’un pet sur un toile cirée. Ce vieux jeune homme de gauche, qui a grandi avec le tee shirt du Che sur la poitrine et Le Monde dans la poche d’une veste rive gôche, a ses icônes. Un peu comme les dames chaisières devant les ex voto des chapelles bretonnes. Quand l’idôlatrie rime avec l’amnésie ! Car enfin, Fidel Castro, avant d’être le dernier dictateur communiste au monde, n’a été qu’un turbulent gosse de riches parmi tant d’autres. Après de pénibles études d’avocat, il a joué au guerillero, comme d’ab’ en Amérique Latine. Lâché par les Ricains, Batista est tombé de son arbre comme un fruit pourri. Et là, très rapidement, le « Che » et Fidel Castro ont donné libre cours à leur humanisme échevelé. Du grand classique : emprisonnement d’ennemis de la révolution, fusillades d’opposants sans autre forme de procès, etc. Mais c’est là que les BHL de service, sans oublier Tatie Danièle, viennent nous seriner l’argument en béton soviétique : « au moins, tous les enfants sont scolarisés et le système de santé est l’un des meilleurs du monde ! ». Vrai, avec l’argent du KGB, en échange de quelques têtes nucléaires judicieusement dirigées vers les côtés américaines toutes proches.Manque de pot, le mur de Berlin est tombé. Et avec lui les aides des camarades Popof. Terminés les système d’éducation et de santé modèles. Cuba avec castro est devenue le Cuba de Batista, en pire. Autant de misère, de prostitution, de corruption, de privation totale des libertés, sous le regard de touristes parqués à Varadero, où le dollar est roi et les échanges entre pauvres cubains et riches touristes interdits. Tu parles d’un paradis. Il nous manque finalement que Georges Marchais pour nous dire que le bilan de Fidel Castro « est globalement positif ». Au fait, on en rit ou en pleure ?

Marcel Botafoin

Fidel Castro quitte le pouvoir à Cuba !

dimanche 17 février 2008

Faut-il dépeindre le foutballe tel qu'il est ou tel que l'on voudrait qu'il soit ?

Comme disait Bossuet l’autre jour à Rousseau au bar des sports de Trincamp, en sirotant un Ferney branca : « Faut-il dépeindre le football tel qu’il est ou tel que l’on voudrait qu’il soit ? ». « Je reprendrais bien une mousse et des cahuètes » lui a rétorqué Rousseau, l’air songeur. Et pourtant, la question est essentielle. Le foot est un très joli sport. C’est même surtout un jeu susceptible d’être pratiqué avec intelligence, un peu comme un art. Je sais. Rapprocher les mots foutballe, intelligence et art peut paraître aventureux, voire même suicidaire en société, en dégustant un sushi avec des responsables de com’, en pleine interrogation sur l’évolution à caractère populiste d’Emir Kusturica. Et pourtant, des favellas aux beaux quartiers, des gosses font leur gamme et pratiquent du beau jeu. Là où tout se gâte, c’est lorsque les « grands » commencent à donner des maillots sponsorisés et à construire des gradins autour des terrains. Du fric et des kops de supporters, voilà le secret du cocktail de la connerie puissance dix. Chauvins et racistes bien-sûr, mais surtout cons à manger du foin ! Alors, le seul racisme qui vaille est le racisme anti-cons. L’âge et la couleur de peau ne font rien à l’affaire, comme aurait pu le chanter l’ami Georges, locataire à perpet’ d’une concession au Club des allongés de la plage de Sète. Reste donc à vider les tribunes de tous les cons. Au risque de jouer à huis clos !

Gabriel Fouquet

(Fev 2008/Insultes racistes dans les stades de France et de Corse)

En direct de l'Elysée

Pignoufs et sms

Que notre président soit un authentique pignouf est un fait avéré. Il est à la distinction et à l’art oratoire en politique ce que Jean-Pierre Pernaut est au grand reportage et au journalisme façon Albert Londres. Une sorte de petit autobronzant sorti d’un improbable marché aux voleurs vendant de la Rollex au kilo. En fait, on a élu une sorte de Nikos Aliagas. Une boursouflure qui se dégonfle telle la baudruche poreuse de nos fêtes foraines d’enfance. Mais l’accession aux ors de la République de la droite bling-bling n’excuse en aucun cas la descente au caniveau de nos amis de la gauche caviar. Comment les brillantes intelligences moralistes du Nouvel observateur ont pu livrer aux chiens l’honneur d’un homme, si petit fût-il, pour une rocambolesque affaire de sms. Le plus grave est la défense de nos élites parisiennes du journalisme de centre gauche. « L’info est béton ! ». Mais c’est bien ça le plus grave. Ne pas voir que c’est quand même une intrusion d’une bassesse inouïe dans la vie privée, même si l’intéressé en joue. Le Nouvel obs ne nous avait pas habitué à une telle sagacité de poubelle lorsque François Mitterrand éduquait sa « seconde » famille aux frais du contribuable ou lorsque Mme pièces jaunes se plaignait ouvertement des aventures extra conjugales de son grand corrézien de mari. Consternant et ridicule ! Que cela ne nous empêche pas de nous envoyer une douzaine d’huitres en terrasse au soleil, acompagné, peut-être, d’un savennières sec. Bonjour chez vous !

Antoine Delafoye-Grandurbain

(Février 2008, affaire du sms de Sarko "sorti" par le Nouvel Obs)

mardi 12 février 2008

Garage Rochard : le film !!

Belles lettres

Notices


L’oisiveté m’étant une seconde mère, j’ai consulté l’autre matin le Petit Larousse à la notice

Notice.« Notice n. f. (lat. notitia, connaissance). Exposé succinct, résumé par écrit sur un sujet particulier ; ensemble d’indications sommaires. »Je crois me souvenir que je recherchais Nothofagus, ayant à refaire mon parquet, mais je ne l’ai pas trouvé. Peu importe.Comme je n’avais rien de plus à faire dans l’après-midi qui suivit, l’idée m’est venue de résumer à l’état de notices, précisément, toutes sortes de choses qui me passaient, allez savoir pourquoi, par la tête (notez que si elles m’étaient passées par ailleurs, j’aurais vraisemblablement su pourquoi)

.Ainsi :Discours n. m. Pol. Exposé généralement trop long, succession de développements par oral sur une grande quantité de sujets ; ensemble de promesses sommaires.Déclaration n. f. Sentim. Exposé flatteur, adressé par oral ou par écrit à un sujet désirable ; ensemble d’indications pressantes.

Littérature n. f. Exposés souvent nombrilistes, épanchements par écrit sur une absence de sujet ; ensemble édité en vue de passer à la télévision.

Article n. m. Press. Exposé objectif autant que possible, résumé écrit ou audiovisuel d’un sujet d’actualité ; ensemble destiné à vendre de la publicité autour.

Publicité n. f. Exposé fallacieux, résumé d’artistes ratés sujets à la fatuité ; ensemble de mictions pendant la coupure du film

Injure n. f. (lat. injuria, injustice). Exposé présidentiel bref, désignant par oral un sujet pauvre ; dans l’ensemble, indique un homme d’État un peu court

Verdict n. m. Judic. Exposé définitif, résumé ferme ou avec sursis de l’avenir d’un mauvais sujet : ensemble à neuf dans une cellule pour trois.

Relevé n. m. Fiduc. Exposé chiffré, résumé mensuel d’un sujet sensible en fins de mois ; ensemble s’achevant par une sommation à régulariser dans les plus brefs délais.Voilà où mène l’oisiveté. J’aurais mieux fait de consulter la notice d’un antidépresseur.

Robert Legrand

Rock'n'roll attitude : quand l'affliction dépasse la réalité

mercredi 6 février 2008

lundi 4 février 2008

Courrier
Les lecteurs nous écrivent

M. Fernand N., de Montauban, nous écrit : « De passage à Nantes pour des raisons qui ne vous regardent pas, j’apprends que le Muscadet serait en réalité un Melon de Bourgogne. Pour un vin local, vous avouerez que c’est pousser le bouchon un peu loin (…) Je ne vous félicite pas, Messieurs les Nantais. »

Nous transmettons immédiatement à M. Yvon Chotard, président de l’Office de tourisme, afin qu’il mette bon ordre à une situation qui, il faut bien l’admettre, porte à la confusion.

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M. Héraud, tailleur pour homme, nous prie de communiquer à son aimable clientèle qu’il n’entend pas s’ingérer dans leurs opinions politiques lorsqu’il s’enquiert de savoir qui porte à droite, qui porte à gauche. Il s’honore d’habiller nombre de Nantais respectables et connus pour leur dévouement à la cause publique, avec ou sans étiquette. Enfin, il profite de nos colonnes pour informer M. Yvon C., du barreau de Nantes, n’ayant pas ses nouvelles coordonnées, qu’il peut passer prendre la veste sur laquelle il a achevé les ajustements qu’il sait.

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M. Jean-Claude Sentier, de Saint-Nazaire, président des Tintinophiles de Basse-Loire, nous prie de passer le rectificatif suivant : la conférence que devait donner M. Showtarr sur « Faut-il porter la barbe sur ou sous la couverture ? » le 16 mars prochain, est avancée au 9 du même mois, pour des raisons techniques indépendantes de sa volonté.

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Au vu du programme 2008 des expositions du Château des ducs de Bretagne, et spécialement de l’exposition « Peut-on liquider Mai 68 ? », Me Y. C. nous écrit à nouveau pour signifier à « la bande de petits rigolos » qui dirigent cet équipement à vocation culturelle qu’il commence à trouver la plaisanterie un peu lourde, nonobstant son sens de l’humour, et qu’il espérait une confrontation d’idées plus élevée. Nous nous associons bien volontiers à sa demande afin que cesse cette polémique ridicule.

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De Mr Tony.B., de Londres : "Je m'insurge contre ces basses attaques portées contre Me Y.C. de Nantes, que je connais personnellement et que j'apprécie beaucoup. Dans une ville rongée par le conservatisme molletiste et le clientélisme, Me Y.C. apporte enfin une touche de modernité. Et comme disait ce cul-terreux de Raffarin, Nantes need Chotard to win !"

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De M. Pi, géomètre à Qingdao : “Je découvle glâce à Google que notle gland ami occidental à figule de vieux sage oliental, le tlès honolable M. Chotal, ambassadeul de notle gland ami son Excellence Jean-Malc Aylault, phale de la pensée socialiste bien connu, est la victime d’un complot impélialiste. Après un vote unanime du Comité Centlal de Qingdao, plusieuls unités de la glande almée populaile de Chine se tiennent sur le qui-vive, plêtes à intelvenil pour libéler M. Chotal . Libélez Chotal !”

Folle journée : le violon, ça me scie les nerfs !!

Le Tapin/ Stalingrad

Le glaive vengeur

Management façon puzzle

Embaumé façon Cléopatre

Ce soir j'suis pas d'humeur

Nuit de Chine

dimanche 3 février 2008

vendredi 1 février 2008