Après la libairie Coiffard, Le café La Perle, l'Atelier d'Alain Ruffault, et avant la boutique des Machînes de l'île, le bar Lulu la nantaise à Montauban (qu'on ne devrait jamais quitter !) et la Trinquette à Hoedic, c'est au tour de la librairie Durance de se retrouver en rupture de stock d'Epistolaire de rien. Sans parler de Priceminster !Lla rentrée littéraire parisienne n'a qu'à bien se tenir ! ça sent le retirage ( ou la réimpression ) pour les plus regardants quant au bon usage du vocabulaire !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire